« Peut-on dire que la souffrance des mourants, et même l’extrême
souffrance parfois, est utile à leur salut ? » écrit Bruno, 57 ans. « Un
tel discours n’est-il pas tout simplement révoltant ? Il me semble que
la littérature chrétienne n’a pas toujours été très claire sur ce sujet.
A quoi sert donc la souffrance physique ? » C’est l’abbé Pierre Amar
qui lui répond.