Paroisse Sainte Kateri Tekakwitha

Diocèse de Tours

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Chemin de croix paroissial
Par VDA**********AIL le 02/04/2020 20:30:00:00, cet article a été lu 1325 fois.


il suffira juste de contacter ce numéro non surtaxé 01.84.14.15.17 et saisir votre code d'accès. Nous pourrons partager un temps de lecture de la Parole, prier, méditer en petite communauté paroissiale !

Nous sommes tous invités ! Vous pouvez demander gratuitement un code d'accès à l'adresse mail : chemin-de-croix@sainte-kateri-tekakwitha.fr
il suffit juste d'avoir un téléphone pour se connecter à ce rendez-vous téléphonique.


Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.


Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques.


Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.


On peut charger le PDF du temps de prière ici
https://www.dclv.fr/DCLV_WEB/photos_news/Chemindecroixpdf.jpg


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Pour méditer cette année le chemin de croix, n'hésitez pas à découvrir le superbe travail de l'artiste lyonnais Bruno Desroche.


« Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, le troisième jour, il ressuscite. » (Lc 9, 22)


En transposant la Passion dans notre univers contemporain, Bruno Desroche revient aux origines de cette pratique initiée par les franciscains. Dans les stations du nouveau chemin de Croix de Saint Nizier, des bourreaux sortent leurs téléphones portables, dans un geste d’une banalité toute contemporaine. Cet homme qui souffre, nous fait-il sourire ou pleurer ? Voulons-nous le prendre en photo ou l’aider ?


Sur un fond noir insondable, tel un portrait du Fayoum, le regard de Jésus attend, pour l’Éternité, de croiser le nôtre.


Le chemin de Croix de Bruno Desroche https://brunodesroche.fr/chemin-croix/